Je suis déficient visuel

Vous êtes déficient visuel en âge de travailler, en emploi avec une envie d’évolution ou de reconversion professionnelle ou en recherche d’un premier emploi, ou encore étudiant en quête d’un stage ou d’une alternance ? N’hésitez pas à nous contacter à actifsdv@apidv.org pour être accompagné.

Vous trouverez sur ce site des réponses aux nombreuses questions que vous vous posez, mais aussi des bons plans, des conseils, des témoignages et de l’actualité sur l’emploi et la déficience visuelle.

Photo de Thibaut de Martimprey, assis sur un canapé gris. Il porte une chemise blanche et un costume gris foncé, ainsi que des lunettes noires à monture bleu ciel.

Thibaut de Martimprey, Business Operations Specialist chez Accenture France, administrateur d’apiDV. © apiDV

Focus DV

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Le réseau Emploi & Numérique de l’association apiDV regroupe d’ores et déjà plus de 250 membres. Gratuit et ouvert à tous, il a pour objectif de partager les bonnes pratiques entre déficients visuels actifs ou en recherche.

Vos questions, des réponses

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la déficience visuelle et l’emploi sans jamais oser le demander…

Qu’est-ce que la déficience visuelle ?

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Au-delà de sa définition légale, qui correspond à une acuité ou un champ visuel, du meilleur œil après correction, inférieurs à un certain niveau, la déficience visuelle est un handicap complexe car multiforme. Elle peut être visible…

Quels métiers sont accessibles à un DV ?

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C’est une question qui revient souvent, notamment de la part de parents ou de jeunes qui ne savent pas trop quelle orientation choisir, quelle formation envisager, vers quel métier se diriger. Mais cela peut également être une interrogation…

Quels outils de compensation pour un déficient visuel ?

Il existe de nombreux outils de compensation au service de la déficience visuelle, des plus simples, comme une loupe, souvent électronique aujourd’hui, aux plus sophistiqués, comme les logiciels lecteurs d’écran qui retranscrivent en…

Comment présenter mon handicap visuel à un futur employeur ?

Un recruteur ou un futur employeur recrute d’abord des compétences, techniques, managériales ou autres, mais il recrute aussi quelqu’un avec qui il aurait envie de travailler : quelqu’un en adéquation avec le style de l’entreprise…
Photo de Raphaël Poitevin. Il porte une chemise rouge foncé, avec des rayures horizontales et verticales blanches grises.

Raphaël Poitevin, administrateur système chez Empreinte Digitale. © apiDV

À quoi sert la RQTH (Reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé) ?

Précisons tout d’abord que la RQTH n’est pas obligatoire pour pouvoir exercer un emploi, même si vous êtes déficient visuel. Vous pouvez parfaitement postuler en milieu ordinaire sans faire état de votre handicap si vous ne le souhaitez…

Les dernières questions traitées…

Dares - La direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

Baisse conséquente du taux de chômage des personnes handicapées entre 2015 et 2022

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Cela ressemble à une bonne nouvelle, mais qui nécessite de bien se pencher sur les données et les nuances. La Direction de l’Animation de la Recherche, des Études et des Statistiques (DARES) du ministère du Travail a publié une étude…

Je suis étudiant déficient visuel, puis-je avoir de l’aide dans le cadre de mes études ?

apiDV a mis en place une section étudiants, à partir de l’offre et des équipes de l’association Baisser les barrières (BLB), qui a rejoint apiDV. Cette section propose des ouvrages accessibles à la synthèse vocale ainsi qu’un…

Le ou les logiciels métiers de l’entreprise ne sont pas accessibles aux outils d’adaptation d’un salarié, stagiaire ou alternant déficient visuel. Que puis-je faire ?

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Tout d’abord il est nécessaire de réaliser une analyse de la situation. Le salarié maîtrise-t-il bien ses propres outils ? Sont-ils bien paramétrés ? Quelle est l’origine de l’inaccessibilité ? Est-elle totale ou partielle ?…

Comment s’y retrouver dans le maquis des intervenants du handicap et de l’emploi ?

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C’est très compliqué parce que pas moins de sept acteurs institutionnels sont susceptibles d’intervenir pour la construction d’un projet professionnel : MDPH (Maison départementale des personnes handicapées), Pôle emploi, Cap emploi,…

Télétravail et handicap : aubaine ou risque d’isolement ?

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En 2020, le télétravail a déferlé dans nos vies. Si certains y voient des avantages indéniables, les travailleurs handicapés appellent à la méfiance car il peut être synonyme d'isolement. Des précautions pour en faire une opportunité…

Pourquoi et comment une accessibilité numérique native ?

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La propostion n° 6 du Manifeste d'apiDV vise à intégrer nativement « l’accessibilité numérique » dans la conception des schémas directeurs des systèmes d’information et le développement des solutions numériques, en s’appuyant…

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Vos actus

Logo Jeux Olympiques 2024

Inquiétudes pour l’Accessibilité des Personnes Handicapées durant les JO 2024

La préfecture de police et la ville de Paris ont dévoilé ensemble la partie publique du plan de sécurité pour les sites des compétitions des Jeux de l'été 2024. Les cartes des zones interdites de circulation automobile suscitent des…

HANTIDOTE 2023 apiDV – L’ accompagnement professionnel de Bahman dans le cadre d’actifsDV

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  Bahman Yazdan Panah est accompagné dans son projet professionnel par Jean-Luc Krust, dans le cadre du programme actifsDV qui est un service de notre association pour accompagner, promouvoir, intégrer les déficients visuels dans…
Logo Access 42 : un cabinet de conseil français expert en accessibilité numérique.

Conséquences de la Directive européenne (UE) 2019/882 sur l’accessibilité numérique des biens et services

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La Directive européenne (UE) 2019/882 a provoqué des changements législatifs majeurs impactant l'accessibilité numérique dans divers secteurs. Les ajustements concernent notamment la distribution des livres numériques, rendue soumise à…

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Qu’est-ce que la déficience visuelle ?

Au-delà de sa définition légale, qui correspond à une acuité ou un champ visuel, du meilleur œil après correction, inférieurs à un certain niveau, la déficience visuelle est un handicap complexe car multiforme. Elle peut être visible ou pas, induire des conséquences très diverses. Elle est souvent confondu avec la cécité, qui n’est pourtant qu’une de ses expressions.

Il y a presque autant de déficiences visuelles que de déficients visuels : on peut voir flou, en trou de serrure ou seulement en périphérie, on peut être gêné par une lumière trop forte ou au contraire par le manque de lumière, on peut être sensible aux contrastes, on peut apercevoir des ombres, quelques lueurs ou rien du tout… En fonction de la situation, chacun développe des stratégies de contournement, des solutions de compensation pour pouvoir se déplacer, se repérer, réaliser les gestes de la vie quotidienne, exercer un métier.

Suivant que cette déficience visuelle est ancienne – voire installée depuis toujours – ou plus récente, du fait d’une maladie évolutive, souvent génétique, d’un accident ou d’une dégénérescence liée à l’âge, les situations personnelles seront très différentes. Cependant, elles ont toutes quelque chose en commun : il existe des solutions de compensation.

Ces solutions ne sont malheureusement pas magiques et ne s’utilisent pas en un claquement de doigt : elles nécessitent d’abord l’acceptation de la situation, et cela peut prendre du temps, ensuite un apprentissage. Mais les résultats sont là : avec des outils de compensation, notamment numériques, bien maîtrisés, on peut faire des études, travailler, se former, sortir, faire du sport, des voyages, bref avoir une vie sociale, culturelle et intellectuelle riche et variée.

Quels métiers sont accessibles à un DV ?

C’est une question qui revient souvent, notamment de la part de parents ou de jeunes qui ne savent pas trop quelle orientation choisir, quelle formation envisager, vers quel métier se diriger. Mais cela peut également être une interrogation de la part de personnes que l’évolution de leur vision conduit à envisager une reconversion professionnelle, ou encore d’employeurs confrontés à la reconversion professionnelle d’un de leurs salariés.

Au siècle, il n’y a quasiment plus de métiers impossibles pour les déficients visuels. Nous sommes désormais très loin des premiers emplois presque obligés comme ceux de canneur/rempailleur ou de facteur d’orgue ou de piano. Ces beaux métiers sont malheureusement en déclin, mais le numérique permet l’accès à de très nombreux métiers difficilement envisageables autrefois du fait de l’utilisation de documents papier.

Même si certains métiers sont considérés comme particulièrement adaptés ou accessibles aux handicapés de la vue, comme masseur-kinésithérapeute, praticien bien-être ou conseiller clientèle à distance, nous pensons qu’il ne faut pas faire d’autocensure et fermer d’office des portes. C’est surtout la motivation qui compte pour faire aboutir un projet professionnel. Sauf incompatibilité absolue, mais après tout, tous les voyants ne peuvent pas non plus devenir pilote de chasse ! Il faut surtout se donner les moyens de réaliser ses objectifs professionnels, quels qu’ils soient.

Pour s’en convaincre, on peut notamment se référer à l’ouvrage de Philippe Chazal, « Témoignages de travailleurs aveugles » (éditions Le Cherche-Midi, 2014), que les déficients visuels pourront notamment trouver au catalogue de la bibliothèque sonore d’apiDV (ex-GIAA, www.apidv.org) ou sur la BNFA (Bibliothèque numérique sonore accessible, www.bnfa.fr/).

En revanche, il y a une condition sine qua non : maîtriser parfaitement les logiciels adaptés, de type Jaws, NVDA, Zoomtext ou autres, permettant l’accès aux outils de bureautique et de navigation sur le Web, aux applicatifs métier, aux outils de télétravail, etc. Nous rencontrons encore beaucoup trop de déficients visuels peu à l‘aise avec ces outils et c’est un handicap supplémentaire pour eux.

Par ailleurs, il est également indispensable que les outils bureautiques ou logiciels – spécifiques ou non – utilisés par l’employeur, public ou privé, soient parfaitement accessibles par les aveugles et les malvoyants.

C’est ce qu’on appelle « l’accessibilité numérique » (voir L’accessibilité numérique, késako ?).

Si ce n’est pas le cas, il existe généralement des solutions, même si elles sont moins performantes qu’une accessibilité native.

Quels outils de compensation pour un déficient visuel ?

Il existe de nombreux outils de compensation au service de la déficience visuelle, des plus simples, comme une loupe, souvent électronique aujourd’hui, aux plus sophistiqués, comme les logiciels lecteurs d’écran qui retranscrivent en sonore (voix de synthèse) et/ou en braille numérique ce qui apparaît sur un écran d’ordinateur, en passant par des télé agrandisseurs, des lecteurs de livres audio, des cannes électroniques et tout un tas de petits matériels ingénieux qui facilitent la vie de tous les jours.

Outils indispensables, comme pour tout le monde, les outils numériques : ordinateurs, ordinaires, avec un clavier azerty, ordinateurs ou bloc-notes braille, smartphones, etc.

Ces outils sont parfaitement utilisables par des personnes aveugles ou malvoyantes, grâce à l’utilisation de logiciels spécifiques de lecture d’écran qui vont s’interfacer avec les suites bureautiques ou d’autres logiciels, permettant à un déficient visuel d’utiliser un ordinateur via une synthèse vocale intégrée ou une plage braille. La plupart des personnes handicapées de la vue utilisent un clavier azerty, comme une dactylo, et avec des raccourcis clavier, d’autres, braillistes, un clavier Perkins.

Il existe de nombreux types et marques d’outils. Afin de vous aider dans vos choix, le CERTAM (Centre d’évaluation et de recherche sur les technologies pour les aveugles et les malvoyants) de l’association Valentin Haüy, teste les aides techniques existant sur le marché, en évalue l’utilité, la fiabilité, la souplesse d’utilisation, effectue des essais comparatifs et en publie les résultats. Le Centre diffuse régulièrement des fiches d’évaluation à destination des utilisateurs, mais aussi des organismes chargés du financement des aides techniques (MDPH, CNSA, Agefiph, FIPHFP, Caisses d’Assurance Maladie…) Sur www.certam-avh.com vous trouverez toutes les fiches d’évaluation ainsi que de nombreuses ressources sur les technologies d’assistance pour personnes non ou malvoyantes : liste de distributeurs spécialisés, accessibilité du Web, téléchargement de logiciels et utilitaires, etc.

Pour une personne déficiente visuelle en emploi ou en recherche d’emploi, ce qui est indispensable c’est aussi de pouvoir se déplacer. Pour se rendre sur son lieu de travail, pour se déplacer au sein de son entreprise ou de son administration, pour se rendre à des rendez-vous, des entretiens, des réunions, etc. En cas de non ou de très malvoyance, il est indispensable d’utiliser une canne blanche, électronique ou non. Le passage à la canne blanche est bien souvent très difficile pour les personnes qui deviennent mal ou non voyante au cours de la vie, car elle représente à leurs yeux le symbole même de la cécité : Je vais vraiment devenir aveugle aux yeux des autres… donc aussi aux miens… C’est pourquoi nombre de personnes très malvoyantes retardent le plus possible le moment d’utiliser cet outil. Il est pourtant le garant de leur sécurité, une aide à leurs déplacements et aussi le moyen d’informer les autres, dans la rue, les transports en commun, voire au sein de l’entreprise que vous avez une mauvaise vue. Ce qui les incitera à faire attention à vous, à ne pas vous bousculer ou vous agresser si vous les bousculez.

Le chien-guide, autre représentation de la cécité pour le grand public, n’est pourtant adopté en France que par moins d’1% des non ou très malvoyants. Pour vous renseigner : https://www.chiensguides.fr/

Comment présenter mon handicap visuel à un futur employeur ?

Un recruteur ou un futur employeur recrute d’abord des compétences, techniques, managériales ou autres, mais il recrute aussi quelqu’un avec qui il aurait envie de travailler : quelqu’un en adéquation avec le style de l’entreprise ou de l’organisme public, quelqu’un qui est à l’aise avec son parcours, qui peut se présenter de façon concise et pertinente, vivante, souriante, qui peut donner des exemples opérationnels de réalisations professionnelles ou de compétences facilement transposables. Il faut séduire dès le début de l’entretien, faire « bonne impression ». Ces conseils sont valables pour tout le monde et c’est pour cela que la préparation aux entretiens d’embauche est extrêmement importante et doit être ciblée pour chaque entretien décroché.

Pour un DV s’ajoute la problématique du handicap. En parler ? ne pas en parler ? comment en parler ? à quel moment ?

Il est évident qu’il faut en parler, que le handicap visuel soit visible ou pas. Et c’est à vous d’en prendre l’initiative. Il faut en parler de façon positive car il ne s’agit évidemment pas de pleurer sur son sort. Montrer que malgré l’adversité vous avez su vous adapter, rebondir, mener votre projet professionnel à bien est déjà un vrai plus. Expliquer que votre handicap visuel est aussi source d’une plus grande capacité d’organisation et d’une vraie créativité (il faut contourner les obstacles, trouver des solutions pour compenser la déficience visuelle) peut également faire mouche. Il faut expliquer clairement ce que vous pouvez faire et ne pas faire, parler des outils dont vous vous servez et dont vous aurez besoin pour assurer vos futures missions, esquisser les possibilités d’aides financières et techniques dont peut bénéficier l’employeur pour adapter un poste de travail.

Car si les grandes entreprises bénéficient aujourd’hui généralement d’une « mission handicap » bien au fait de la législation, ce n’est pas forcément le cas des TPE/PME. Ce sont pourtant elles qui emploient le plus de salariés en France et donc aussi le plus de salariés handicapés. Mais elles méconnaissent souvent les aides auxquelles elles peuvent prétendre. En parler lors de l’entretien permet d’anticiper les solutions et les aménagements souhaitables, à condition de ne pas les présenter comme un dû, mais comme la preuve de votre engagement et comme un avantage pour l’entreprise.

À quel moment en parler ? Évidemment pas au tout début de l’entretien. L’employeur recherche des compétences, pas un handicap. Mais dans un deuxième temps, après avoir exposé votre pitch, votre projet, votre intérêt pour le poste et répondu aux premières questions du recruteur. Il sera alors d’autant plus près à vous écouter que vous aurez fait impression dès le début de l’entretien.

À quoi sert la RQTH (Reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé) ?

Précisons tout d’abord que la RQTH n’est pas obligatoire pour pouvoir exercer un emploi, même si vous êtes déficient visuel. Vous pouvez parfaitement postuler en milieu ordinaire sans faire état de votre handicap si vous ne le souhaitez pas, d’autant plus facilement si votre handicap est dit « invisible ». De même si vous bénéficiez d’une RQTH, vous n’êtes pas obligé de le dire, sauf si vous postulez à des emplois qui exigent de justifier d’un titre de l’Obligation d’emploi des travailleurs handicapés (OETH). Il en existe d’ailleurs d’autres que la RQTH (par exemple une pension d’invalidité).
Précisons que la décision de la MDPH ne mentionne ni la nature du handicap ou de la maladie, ni le taux d’incapacité.

Cependant, la RQTH vous permet d’obtenir des conditions de travail mieux adaptées à votre handicap et également de postuler – en plus – à certaines offres, ou de bénéficier de voies d’accès spécifiques aux concours administratifs.

En tant que demandeur d’emploi la RQTH vous permet :

  • d’être accompagné(e) dans vos recherches par Pôle emploi et le réseau de placement spécialisé Cap emploi, si votre RQTH s’accompagne d’une décision d’orientation vers « le marché du travail en milieu ordinaire »,
  • d’accéder aux dispositifs de droit commun, tels que les contrats aidés (contrat initiative emploi, contrat unique d’insertion, etc.), à condition en revanche d’être inscrit à Pôle emploi ou Cap emploi,
  • de bénéficier des aides proposées par l’Agefiph (aide à la création d’entreprise, aide à l’achat de matériels adaptés (agrandisseurs, appareils auditifs, etc.), mise en accessibilité des formations professionnelles, etc.). www.agefiph.fr
  • d’accéder à la fonction publique, par concours (examens aménagés selon les besoins) ou par recrutement contractuel spécifique.

Si vous êtes en emploi, la RQTH vous permet :

  • de bénéficier d’aménagements d’horaires en fonction des conséquences de votre handicap,
  • de bénéficier de règles particulières en cas de rupture de contrat de travail,
  • d’accéder à des stages de réadaptation professionnelle en cas d’inaptitude à votre ancien métier,
  • dans le secteur privé, de bénéficier des financements et conseils proposés par l’Agefiph. Ces aides concernent l’aménagement de poste ou l’aide à l’achat de matériels adaptés. www.agefiph.fr
  • dans la fonction publique, de bénéficier des aides proposées par le FIPHFP à votre employeur (adaptation de poste, matériel adapté, etc.)  http://www.fiphfp.fr

Précision : l’accompagnement vers l’emploi proposé par notre association n’est pas soumis à une inscription à Pôle ou Cap emploi, ni à la détention d’une RQTH, même si nous vous le recommandons fortement.